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About

« Ronan Siri naît en Normandie, où il passe la majeure partie de son enfance. Le foyer familial baigne dans une ambiance inspirante et créative, car bien qu’officiant initialement dans la médecine, son père a toujours eu des talents pour les arts, que ce soient la musique, ou la peinture en amateur. Ce n’est donc pas un hasard si ses enfants ont choisi tous les deux des carrières artistiques, l'un photographe et l'autre illustratrice.
En 2006, Ronan Siri se découvre une passion prononcée pour la guitare et la chanson. Cette même année, il part aux États-Unis où il verra cette passion renforcée. Ce voyage sera une découverte de lui-même, d’une autre culture, d’autres lieux, et lui inspirera ses premières chansons.

Ronan Siri renonce alors à des études de design pour s’engager dans une carrière musicale. Un choix audacieux qui l’emmènera sur le chemin de Damien Habouzit, bassiste, et dont il tire un portrait profond et contrasté.De rencontres en expériences, on l’entendra à la radio, à la télévision dans des émissions de découvertes telles que Taratata, ou encore lors des premières parties de grands artistes tels que Benjamin Biolay, Ben Harper, ou encore Alela Diane.

Des harmonies des notes aux harmonies colorimétriques il n’y a qu’un pas : la créativité de Ronan ne s’arrête pas aux vibrations des égaliseurs. De la musique naît cette autre passion qu’est la photographie. Il rencontre Dominik Fusina, photographe de métier qui prend régulièrement des clichés de lui lors de ses concerts. L’homme à la camera en bandoulière, en bon mentor, l’initie aux bases de la photographie.

Autodidacte, Ronan Siri s’inspire de la musique pour ses images et vice versa. Pour lui ces disciplines sont indissociables. « Les émotions que procure la musique par les vibrations sont les mêmes que celles que procurent la photographie par la lumière », dit-il.
Ronan se considère comme un « chasseur d’instants », instants qui une fois capturés par son objectif, seront les prismes à travers lesquels se projetteront ses ressentis physiques et spirituels.

De la fugacité d’un échange de regards avec un cervidé à celle d’une onde docile sous un pont urbain, l’image fixée et silencieuse n’est que le témoins d’une vie bien sonore, elle, qui s’épanouit encore et toujours après le cliquetis de l’appareil. »